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… et nous rentrons dans le maigre soleil du soir
Nous passons par le col du Granier (il fait 3 degrés)
« J’engageai Maman à vivre à la campagne. Une maison isolée au penchant d’un
vallon fut notre asile, et c’est là que dans l’espace de quatre ou cinq ans j’ai joui
d’un siècle de vie et d’un bonheur pur et plein… »
vallon fut notre asile, et c’est là que dans l’espace de quatre ou cinq ans j’ai joui
d’un siècle de vie et d’un bonheur pur et plein… »
Les Rêveries du promeneur solitaire
Les Charmettes est une propriété composée de jardins et d’une maison qui fut
habitée par Jean-Jacques Rousseau de 1736 à 1742 dans le vallon des Charmettes,
à côté de Chambéry, dans le département de la Savoie.
habitée par Jean-Jacques Rousseau de 1736 à 1742 dans le vallon des Charmettes,
à côté de Chambéry, dans le département de la Savoie.
On voit d’ailleurs Maurice déjà
pénétré de l’importance du
lieu. On ne revient pas intact
de l’abîme…
pénétré de l’importance du
lieu. On ne revient pas intact
de l’abîme…
Mais… fini de bavarder : nous
arrivons chez Rousseau !
arrivons chez Rousseau !
Maurice franchit l’abîme… mais la moto est nette !
Le lion veille au-dessus
de mes trois amis.
de mes trois amis.
Mais l’huis est clos
Passons alors par le Pont de l’Abîme. Un pont, ça ne ferme pas au moins
Courte halte au château de Montrottier à Lovagny, fermé
Lam, Chris et moi
partons de Chancy.
partons de Chancy.
Maurice nous
rejoint un peu plus
tard sur la route
Aujourd’hui, ce n’est pas tout à fait une balade comme tant d’autres puisque nous
allons aux Charmettes, une de ces maisons d’écrivains ouvertes au public.
allons aux Charmettes, une de ces maisons d’écrivains ouvertes au public.
Jean-Jacques Rousseau y a vécu et y fut heureux.